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Modernes

Léopold SURVAGE (1879-1968)

La rue du village

Huile sur toile.
Format : 50 x 61 cm
Signée en bas à droite
Circa : 1910

Prix sur demande

Léopold Sturzwage, dit Léopold Survage, est né à Moscou (Russie) en 1879. Il entre en apprentissage dans une fabrique de pianos. En 1901, il commence à recevoir un enseignement artistique à l’Académie des beaux-arts de Moscou (1901-1906), y rencontre Larionov et Malevitch. Léopold Survage participe aux expositions de l’avant-garde russe « Stephanos » (1907) et du « Valet de carreau » en 1910. Il s’installe à Paris en 1908 où, tout en peignant, il est accordeur de pianos jusqu’en 1915. Son monde pictural préfigure l’univers surréaliste et enthousiasme Apollinaire.
Après une période d’expérimentation où il s’intéresse aux règles de la construction cézannienne et au Cubisme, il peint des aquarelles abstraites qu’il nomme « Rythmes colorés » et qu’il envisage de faire se succéder devant une caméra afin de créer une « symphonie picturale », à l’égal de la musique. Ce projet, la guerre éclatant, ne verra jamais le jour. Sa première exposition personnelle est organisée à Paris pendant la première guerre mondiale (1917).
Survage peint des toiles très colorées, compositions figuratives et symboliques, où il abolit les règles de la perspective traditionnelle ; les personnages sont schématisés et, le plus souvent, situés dans un environnement urbain. Il sera membre fondateur de la Section d’or (Gleizes, Archipenko, etc.). De 1919 à 1929, Survage décline son oeuvre sur les thèmes de la ville, de ses habitants, qui sont marqués par des liens évidents au Cubisme. Il crée décors et costumes pour les ballets russes Diaghilev (1922).
Léopold Survage obtient la nationalité française en 1927. L’artiste peint maintenant des figures au premier plan de ses toiles, sa palette s’assombrit ; il utilisera pour peindre, à partir des années 30, une émulsion de caséine qui permet aux couleurs de conserver leur éclat. Survage réalisera des fresques, des illustrations d’ouvrages, une oeuvre sur papier.
Léopold Survage, qui tient une place originale parmi les créateurs de l’Ecole de Paris, est mort à Paris en 1968.

Madeleine BERLY VLAMINCK (1896-1953)

Les femmes au jardin

Huile sur toile.
Format : 65 x 81 cm
Signée en bas à droite

Prix sur demande

Fille de Maurice de Vlaminck, elle préféra apprendre le nom de sa mère.
Dès 1914, Paul, Guillaume exposa ses œuvres. Très influencée par le fauvisme, elle est surtout connue pour ses portraits de femmes élégantes d’inspiration  » fauve  » .

Collection publique : Petit Palais, Genève

Jules CAVAILLES (1901-1977)

Composition à l’ananas

Gouache sur papier.
Format : 70 x 57 cm
Cachet de la signature en bas à droite

Provenance :

  • Atelier Jules Cavaillès
  • Collection Janine Calisti-Cavaillès
  • Collection Henri Bureau

VENDU

Dessinateur aux mines de Carmaux, Jules CAVAILLES fit la connaissance du « père Artigue », élève de J.P Laurens et ami d’Henri Martin, qui l’engagea à venir étudier à Paris.
Il devient élève de Pierre et Paul-Albert Laurens à l’Académie Julian en 1925. Il expose au Salon des Artistes Français, puis, dès 1928, aux Indépendants et au Salon d’Automne.
Jules CAVAILLES est invité au Salon des Tuileries, et, en 1936 , chargé de former le 14e groupe des « Artistes de ce temps », au Petit Palais.
En 1937, il décore le Pavillon du Languedoc de l’Exposition Universelle ainsi que d’autres panneaux décoratifs.
Jules Cavaillès peint par juxtaposition de couleurs pures. D’abord influencé par les Fauves, il suivit un cheminement qui fut commun à de très nombreux peintres français de l’entre-deux guerres, délaissant l’intensité et l’esprit de recherche pour la joie de vivre.
Il exposa souvent avec les peintres que l’on a pu dire de la « Réalité Poétique » (Brianchon , Legeult, Oudot…), attachés à la représentation de la réalité dont ils veulent célébrer la beauté familière.
Aujourd’hui, on peut admirer certaines de ses toiles dans divers Musées (Albi, Montpellier, Toulouse, Chicago, Helsinski et Zurich).

Robert COMBAS (né en 1957)

Portrait 

Technique mixte. Peinture sur verre et papier
Format : 71 x 62 cm
Signée en bas

L’oeuvre figure dans les archives de l’artiste
Numéro d’inscription indiqué au dos du tableau.

VENDU

Robert Combas est un artiste peintre, sculpteur et illustrateur français né en 1957 à Lyon. Passionné de musique, il participe à la naissance du mouvement de la figuration libre dans les années 1980. Considéré comme l’un des artistes français les plus importants de sa génération, il fait partie depuis plusieurs années du classement Artprice des 500 artistes les plus côtés au monde. Il vit et travaille aujourd’hui en Île de France.

Jean Gabriel DOMERGUE (1889-1962)

La loge

Technique : Huile sur panneau
Format : 65 x 54 cm
Signée en bas à gauche

VENDU

 

Jean-Gabriel Domergue est né à Bordeaux en 1889. Son père, journaliste et critique d’art, l’emmène visiter des ateliers d’artistes ce qui révèle très tôt son attirance pour la peinture. Peu de temps après être arrivé à Paris, Jean-Gabriel Domergue remporte à quatorze ans le premier prix d’un concours de dessin organisé par la ville, et décroche sa première commande, un portrait de femme. Dès 1906, Jean-Gabriel Domergue passe par plusieurs ateliers, et côtoie Toulouse-Lautrec, dont il est un cousin éloigné, fréquente son atelier et découvre en sa compagnie le Moulin rouge et ses danseuses… Domergue emprunte, puis partage un atelier situé au-dessus de celui de Degas, rue Massé. Malgré un accueil glacial, Degas le prend en amitié, et lui apprend pendant plus d’une année à regarder et à voir. Domergue rencontre Boldini, dont la touche fougueuse et enlevée l’influencera particulièrement. A partir de 1920, année de sa médaille d’or au Salon des Artistes Français, Jean-Gabriel Domergue connaît une grande vogue. Il est tour à tour sollicité par la publicité pour des couvertures et affiches de catalogues, par la mode en tant que créateur, et comme peintre de « la Parisienne ».
D’un pinceau habile et spirituel, Domergue a l’art de traduire le côté léger, piquant et pétillant de la jolie femme. Malgré sa facilité apparente, Domergue travaille beaucoup, et ses carnets de dessins sont abondants. Jean-Gabriel Domergue se déclare être « l’inventeur de la pin-up » et sera le portraitiste incontournable de l’aristocratie française et étrangère avec pour modèle Nadine de Rothschild, la princesse Ruspoli ou encore la duchesse de Grammont. Nommé chevalier de la Légion d’Honneur en 1933, Jean-Gabriel Domergue est élu membre de l’Institut de l’Académie des Beaux-Arts en 1950. Devenu conservateur du Musée Jacquemart-André à Paris en 1955, Domergue y organisera d’importantes expositions, dont l’une consacrée à Lautrec en 1951, et Goya en 1961.

André DERAIN (1880-1954)

Nu

Technique : Dessin à l’encre de chine
Format : 45,5 x 62 cm
Signée en bas à droite

# 1117

Prix sur demande

 

Galerie Art en Seine

184, Rue Adèle Robert
76610 Le Havre – France

 

Email: contact@artenseine.com
Téléphone : 02 77 00 58 88
Portable : 06 31 66 81 12

EI THIERRY TUFFIER
RCS : 350 150 785 00037

Showroom ouvert uniquement sur rendez-vous.

Possibilité de présentation à domicile en Normandie et région parisienne.

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